Feb 28, · Je poste ce message pour expliquer mon projet de recherche (bien qu’il ne soit pas en rapport avec votre thematique) pour peut etre donner une aspiration aux lecteurs, tout comme vous m’en avez donnez. Etudiant en licence de commerce equitable, je souhaiterai etudier l’impact d’un eco-village L’État peut-il être juste? Leibniz, Préface aux Nouveaux essais sur l'entendement humain; Annales - La raison peut-elle rendre raison de tout? Les plus téléchargés (30 jours) Annales - Être libre, est-ce ne rencontrer aucun obstacle? La conscience de soi est-elle une connaissance de soi? La philosophie juive au Moyen Âge. On peut diviser la philosophie juive médiévale en deux périodes: une période islamique, du VIII e au XII e siècle EC, où les philosophes juifs sont fortement influencés par la philosophie islamique environnante, laquelle est fortement tributaire de la philosophie grecque, traduite du syriaque par Al-Farabi
La Philosophie des Lumières
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En pratique : Quelles sources sont attendues? Comment ajouter mes sources? La philosophie juive est une forme de pensée juiveexaminant les rapports entre le legs du judaïsmela révélation et la tradition, et celui de l'hellénisme, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme, la raison logos. Cette entité est controversée par les tenants du judaïsme traditionnel comme par les philosophes: pour les premiers, elle amène les Juifs à formuler les questions à la manière des non-Juifs, et les conduit donc rapidement et directement à l'hérésie ; pour les seconds, elle part d'un postulat pré-établi, la vérité de la révélation, ce qui est contraire à une démarche philosophique authentique, et conduit des philosophes comme Leo Strauss à affirmer que les « classiques » de la philosophie juive comme le Guide des Égarés ou le Kuzari ne sont pas des œuvres philosophiques.
L'hellénisme, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme, et sa composante doctrinale, la philosophie, sont introduits en Judée lors de la conquête de la Perse par Alexandre. La tradition orale judéenne témoigne, au travers de ses aggadot ou de sentences attribuées à des Sages, du mélange de respect et de méfiance entre Juifs et Grecs [ 1 ].
Les seconds influencent profondément les premiers dans leur organisation de la cité et l'art, encore que certains points de leur mode de vie la nudité obligatoire lors des jeux sportifs, s'accompagnant d'une obligation de cacher les signes d'une origine juive [ 2 ]la pédérastie érigée en principe d'éducation, etc, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme. choquent les Juifs, qui ont appris dans leur Livre que ce sont des abominations à YHWH.
Il en est de même pour leurs modes de pensée respectifs : bien que ne présentant pas d'interdépendance avec la philosophie, et bien que les discussions autour de l'exégèse des Livres de la Bible n'aient pas pour but la poursuite de la sagesse, mais la détermination de la conduite à tenir en conformité avec la Loi dans une situation donnée, la démarche du judaïsme, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme, en ce qu'elle a toujours voulu penser l'acte, l'action, et les ancrer dans le Transcendant, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme, c'est-à-dire, pour elle, le divin, présente des analogies avec la démarche philosophique.
De nombreux concepts juifs concernant le divin Dieu n'ayant pas de forme, de représentation, de corps, et n'étant pas soumis à la temporaliténe sont d'ailleurs pas sans rappeler l' Idée de Platon ou la Métaphysique d'Aristote.
Parmi les autres dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme partagées par ces deux systèmes, on compte :. Les rapports entre Sages judéens et « Sages des nations » sont donc empreints d'ambivalence: leurs idées sont connues, et leur valeur intellectuelle reconnue, tant qu'elles ressortent de la science, mais non de la foi ou de la théologie [ 5 ].
Le folklore palestinien, recueilli en partie dans le Talmud et d'autres recueils de tradition orale rabbiniqueen particulier dans le Midrash Eikha Rabbaabondent en historiettes d'un Athénien et d'un enfant judéenoù le second se joue aisément du premier, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme, alors que des Sages juifs en visite à Athènes se distinguent par leur acuité d'esprit et leur répartie [ 6 ]. Toutefois, au-delà de la raillerie, la sagesse grecque est jugée particulièrement pernicieuse par les Pharisiens : d' Elisha ben Avouyafigure de l'hérétique par excellence dans le Talmudil est dit qu' « une mélodie grecque ne quittait jamais ses lèvres et [ L'hérétique et l'apostat sont d'ailleurs appelés tous deux Apiqorosdérivé d' épicurien [ 8 ]car l'épicurisme prône la supériorité des plaisirs de l'esprit sur tous les autres, l'étude de la Torah pour le plaisir intellectuel que cette étude suscite, et non pour y chercher la voie à suivre [ 9 ].
La littérature rabbinique est donc emplie de controverses avec des philosophes, en vue de réfuter leurs propos [ 10 ]. L'hellénisme n'est cependant pas sans influence sur la pensée juive : le monothéisme des Judéens, jusque-là national, c'est-à-dire limité aux « ressortissants de la nation judéenne, » devient véritablement universel [ 11 ].
Par ailleurs, les considérations sur le corps et l'âme, son immortalité, ainsi que dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme la nature de la métempsycosesi importantes pour le concept kabbalistique du Guilgoul haneshamotn'étaient développées qu'à un niveau rudimentaire dans le judaïsme, qui professe la résurrection corporelle des morts [ 12 ]. Toutefois, cette symbiose na pu se faire en Judée, mais parmi les Juifs installés dans le monde hellénistique, en particulier à Alexandrie.
C'est en effet à Alexandrie que le judaïsme, libéré des liens nationaux qui se rattachaient à la tradition en Palestines'imprègne de l'hellénisme ambiant. Ce mouvement n'aura pas d'effet durable sur le judaïsme global, malgré son influence, considérable pendant quelques siècles, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme, par suite de l'éveil du sentiment national judéen lors des guerres macchabéennes et de la révolte de Bar Kokhba d'une part, et parce qu'il sera récupéré par le christianisme lors de sa séparation avec le judaïsme [ 2 ].
C'est en particulier le cas de la Septantetraduction de la Bible en grec, initialement célébrée pour sa beauté et son utilité dans le Talmud [ 13 ]mais abandonnée par suite des incessantes controverses avec les chrétiens, qui y lisaient la préfiguration de Jésus et conspuée: Le jour où la Bible fut traduite en grec fut considéré comme le jour où l'on honora le veau d'or [ 14 ] ; lorsque la traduction de la Bible fut achevée, les ténèbres vinrent sur l'Égypte pendant trois jours [ 15 ] ; le 8 Tevet fut décrété jour de jeûne pour expier cette offense, et son étude fut interdite, ainsi dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme celle de la littérature grecque, et du grec lui-même [ 16 ].
Si certains livres, comme l' Ecclésiastiqueressemblent à des livres bibliques canonisés comme les Proverbes ou l' Ecclésiastequi a d'ailleurs été envisagé par certains comme un dialogue philosophique [ 17 ]d'autres, comme la Sagesse de Salomonprésentent clairement l'éthique grecque dans le moule de la littérature sapientiale juive. Prenant la forme d'une exhortation de Salomon à des homologues royaux régnant sur des païens, il les met en garde contre l'impiété, en particulier l'idolâtrie, et leur enjoint de suivre la vraie sagesse, et à servir Dieu [ 2 ].
Le texte s'adresse vraisemblablement à des païens, ou à des Juifs tentés par le paganisme. L'auteur laisse entrevoir des doctrines stoïciennes, en faisant de la Sagesse un être indépendant, existant en dehors de la divinité et servant de médiateur entre l'activité divine et le monde, dans lequel la raison divine est immanente.
L'influence de Platon est également visible dans le traitement de l'âme, entité indépendante du corps et lui survivant lorsqu'il retourne à la poussière. À l'inverse, le « quatrième Livre des Macchabées, » appelé ainsi car il prend pour thème l'exécution de Hannah et ses sept fils — 2.
Son but est avant tout apologétique : elle veut démontrer la validité et l'universalité du judaïsme, en fournir une interprétation philosophique, qui conçoit Dieu de façon spirituelle à l'inverse des divinisations d'occurrences matérielles, qui ont donné le polythéisme et l'éthique de façon rationnelle [réf.
Survenant à une époque où tant les Juifs de Babylone que d'Israël manifestaient une méfiance de plus en plus marquée envers celle-ci, son influence sera faible dans la pensée juive, bien que Harry Austryn Wolfson fasse remonter toutes les formes de philosophie religieuse à Philon [ 18 ]mais prépondérante dans le christianisme primitif.
C'est par le biais des Pères de l'Église que l'on connaît Aristobule de Panéasdont certains fragments du commentaire qu'il fit de la Bible ont été conservés par eux. Selon Aristobule, les philosophes et poètes tiraient leurs enseignements de la sagesse de Moïse [réf. Certaines de ses idées ont pénétré en profondeur l'exégèse ultérieure : il se refuse à donner une interprétation littérale des expressions anthropomorphiques de la Bible concernant Dieu, et fait préexister la Sagesse c'est-à-dire la Torah aux cieux et à la terre, d'abord comme attribut divin, ensuite comme création par émanation de Dieu, et enfin comme immanente au monde.
Il propose aussi une interprétation symbolique du Shabbatet du chiffre 7 en général [réf. Plus connu est Philon d'Alexandrie EC- 40 EC. nécessaire]et bien que connaisseur de nombreuses traditions juives, ne les comprend pas à la façon des rabbins. Estimant que la raison la philosophie et la révélation ne sont pas incompatibles, la première doit défendre et de justifier les vérités de la seconde.
Afin de faire comprendre MoïsePhilon en fait un dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme de Solon ou de Lycurgue [réf. De même, les commandements divins les plus obscurs, comme l'institution d'un jour d'abstention hebdomadaire, les lois alimentaires, servent à inculquer à l'homme les fondements du stoïcismeet accordent son rythme aux rythmes cosmiques et universels. Philon considérait toutefois le judaïsme comme supérieur à la philosophie, et écarte les doctrines contraires auix enseignements bibliques, comme l'éternité du monde [ 19 ].
Classé parmi les pères de l'Église, Philon n'est pas étudié, ni même réellement considéré comme un penseur juif en dépit de son indiscutable judéité. Il fut sans doute trop "grec" pour les rabbins, c'est-à-dire trop proche de la métaphysique et moins de la démarche rabbinique.
Il semblerait en revanche avoir reçu une certaine postérité dans le karaïsme [ 20 ]. La philosophie des Mutazilites est conçue par eux comme un moyen de résoudre les problèmes de l'analyse scripturaire, principalement en ce qui concerne l'Unité et la Justice divines. Il ne s'agit pas d'une philosophie systématisée, tout argument philosophique est bon pour expliquer l'Écriture, qu'il provienne de Platond' Aristote ou d' Épicure. Or, l'analyse scripturaire caractérise précisément les Karaïtesdes Juifs qui, ayant fait sécession du Talmud, reportent leur adoration tout entière sur la Miqra, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme.
Le mutazilisme, dont la naissance en fin de VIII e siècle, coïncide avec le regroupement autour d' Anan ben David de tous dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme courants juifs opposés à la Loi orale, trouve donc chez eux un accueil particulièrement favorable.
Il leur assure un certain succès dans la propagation de leurs idées, au point d'entraîner la réponse vigoureuse de Saadia Gaonun Sage rabbinique formé à l'école mutazilite d'Al Dubaï. Son Emounot veDeot Kitab al-Amanat wal-l'tikadatle "Livre sur les Articles de Foi et les Doctrines du Dogme"première présentation systématique de la doctrine judaïque ainsi que de ses éléments philosophiques, est construit en sections selon la structure mutazilite, avec une section sur l'Unité divine, et une sur la théodicée.
Toutefois, il s'écarte de leurs enseignements en déclarant que la tradition juive rabbinique s'entend, c'est-à-dire le corpus des Talmuds et du Midrashbien que le plus souvent conciliable avec la raison, l'emporte sur elle lorsqu'ils se trouvent en conflit, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme. C'est notablement le cas dans les domaines où seule la spéculation semble pouvoir mener à la bonne compréhension des choses, comme les débats sur l'éternité du monde ou l'immortalité de l'âme.
À l'inverse, Joseph ben Abraham en et son disciple Yeshoua ben Yehouda endeux éminents philosophes karaïtes du XI e siècle, enseignent que la connaissance rationnelle de Dieu doit précéder la croyance en la révélation : ce n'est, selon eux, qu'une fois l'existence de Dieu, Sa sagesse et Son omnipotence établies, que la vérité de la Révélation est garantie. De même, certains principes moraux sont accessibles par la seule réflexion, par exemple, qu'il vaut mieux faire le bien que le mal, qu'il faut dire la vérité et manifester de la reconnaissance; ces évidences sont indépendantes de la Révélation, puisque même ceux qui nient l'existence de Dieu et Sa révélation adhèrent à ces principes.
La loi morale est obligatoire non seulement pour l'homme mais aussi pour Dieu. Les deux philosophes parviennent à démontrer la création du monde, cependant, à la différence de Saadia, ils souscrivent à la doctrine kalamique selon laquelle tout est composé d'atomes.
Le Kalâm demeurera l'école de prédilection des Hakhamim karaïtes, même lorsqu'au XIV e siècle, Aaron ben Elya de Nicomèdemontrera des influences aristotéliciennes, surtout maïmonidiennes. En revanche, chez les Rabbanites, le Kalam sera en compétition avec le néo-platonisme, et sera supplanté plus tard par les doctrines d' Aristote. Le néoplatonismebien qu'originellement hénothéiste et païen, fut adapté puis adopté par de nombreux penseurs juifs, dont l'un des plus illustres représentants est Salomon ibn Gabirol.
L'émanationnisme, la perfection infinie de l'Un, la montée de l'âme etc. sont en effet des thèmes très proches des croyances religieuses, pouvant être abordés sous un angle rationnel, menant au système d'ibn Gabirol, ou d'un point de vue "mystique", menant à la doctrine des sephirot d' Isaac l'Aveuglechef de file de la Kabbale géronaise.
Les philosophes juifs néoplatoniciens oscilleront souvent entre ces deux pôles, qui peuvent se confondre chez certains, comme Bahya ibn Paqudaque les Juifs connaissent sous le nom de Rabbenou Behaye. Auteur du premier ouvrage d' éthique juive Al Hidayah ila Faraid al-hulub"Guide aux devoirs du cœur", dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme, et traduit en hébreu par Juda ben Saül ibn Tibbon sous le titre Hovot ha-Levavotles Devoirs du Cœuril était, sous l'inspiration des "Frères de la Pureté"fortement enclin au mysticisme contemplatif et à l'ascétisme.
Toutefois, voulant présenter un système religieux abordable, pur, et en complet accord avec la raison, il élimina de ce système les éléments qui lui semblaient en contradiction avec le monothéisme ou la Loi juive. Bien que chaque philosophe se livre à la critique des idées de ses collègues, aucun ne s'élève comme Yehouda Halevi -contre la philosophie, ce qui lui valut son surnom de "l' Al-Ghazali juif". Juda Halevi ne s'élève pas contre la spéculation philosophique elle-même, dont il fait lui-même usage, y compris pour démonter des arguments philosophiques, mais contre la volonté de démontrer une identité entre vérité démontrée et vérité révélée.
Selon lui, celle-ci ne se laisse ni examiner, ni soumettre à la spéculation, seul Dieu donne accès à quelques élus au domaine du divin al 'amr al-ilahi, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme. Il entreprend ensuite de démontrer les doctrines juives basées sur la révélation et la tradition, ce qui fait de ce livre un exposé concis et complet du judaïsme.
Ce livre valut à Juda Halevi sa notoriété en son temps et de nos jours, bien qu'il fût déjà un poète réputé. Les idées d'Aristote eurent une répercussion importante et durable dans la philosophie juive, du fait de la stature spirituelle de son principal représentant, Moïse Maïmonide.
Cependant, Maïmonide avait été précédé en cette voie par Abraham ibn Dawd Halevidont la principale œuvre philosophique, Emouna Rama Al-Aqida al-Rafi'arédigé uniquement "à l'intention de ceux qui doutent", était une critique en règle du Fons vitae de Salomon ibn Gabirol, rédigée à l'aide d'arguments aristotéliciens.
De lecture malaisée, ce livre fut très vite surclassé par dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme "Guide des Egarés" de Maïmonide, paru dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme après. Abraham ibn Dawd n'en est pas moins le premier Juif aristotélicien, et son œuvre compte parmi les ouvrages classiques de la philosophie juive du Moyen Âge.
De même que tout commentaire biblique rédigé après celui de Rachi peut être considéré comme un commentaire du sien [réf. nécessaire]la philosophie de Maïmonide alimente la philosophie juive jusqu'à l'ère moderne, voire la philosophie moderne elle-même, Baruch SpinozaMoïse MendelssohnLeo Strauss ou Hermann Cohen s'y étant référés.
La philosophie de Maïmonide fut, de son vivant même, l'objet de mesures et contre-mesures d' excommunication pour quiconque s'y adonnerait, et de controverses passionnées, dont le compte-rendu même fournit la matière du Minhat Kenaot d' Abba Marirédigé enplus d'un siècle après la mort du Maître.
Il arrivait souvent que les acteurs de ces controverses adoptent une position partagée. Salomon ben Aderetpar exemple, défendait l'œuvre de Maïmonide, mais s'opposait à sa diffusion en masse, et finit par rédiger un herem envers quiconque étudierait la philosophie en dessous de l'âge de trente ans.
Abraham ben David de Posquièresle plus ardent des critiques contemporains de Maïmonide, entreprit de démontrer que, toute admirable que fût son œuvre, d'autres opinions que la sienne pouvaient et devaient exister, en matière de halakha comme en matière de philosophie. Il s'opposa particulièrement à la tendance de Maïmonide de faire passer des doctrines aristotéliciennes pour des articles de foi, voire des dogmes juifs, comme ses vues sur l'immortalité de l'âme et la résurrection des morts.
Shem Tov Falaquera rédigea le Moreh ha Moreh Guide du Guideet l' Iggeret ha-Vikou'ah Épître de la disputationœuvre apologétique reproduisant un dialogue entre dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme partisan et un opposant de l'étude de la philosophie, tranchant en faveur du premier.
Moïse Nahmanideaussi versé dans la philosophie que dans la Kabbalereprésenta la voie modérée dans les controverses autour de Maïmonide, proposant de casser le dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme portant sur Maïmonide, mais maintenir, voire renforcer celui sur ses œuvres.
Cette opinion fut rejetée, tant par les tenants que par les opposants à Maïmonide. Lui-même critiquait fortement certaines idées de Maïmonide dans son commentaire [réf. nécessaire]mais il tenta par ailleurs de les réconcilier avec la tradition juive : concernant la résurrection des morts, il suggéra qu'aux temps messianiquesles corps physiques s'élèveraient par le truchement de l'âme à une essence pure, si proche de l'esprit, qu'ils en deviendraient éternels [réf.
Résolument philosophe, résolument rationaliste, résolument averroïste, Albalag franchit la limite qu'avait tracé Maïmonide : son interprétation du récit de la création suit de si près la thèse d'Aristote sur l'éternité du monde qu'il est traité d'hérétique. Son œuvre la plus connue est la traduction qu'il fit du Mahahid al-Falasifa les tendances des philosophes d' Al-Ghazali.
Il n'en a traduit en réalité que les chapitres concernant la logique et la métaphysique. Cependant, il fit également œuvre de commentateur, corrigeant les vues des philosophes comme l'avait fait Al-Ghazali dans son Tahafut al-Falasifa La Destruction des Philosophes, déjà mentionné. Albalag remarque qu'Al Ghazali ne réfute pas les philosophes mais ses propres erreurs, qu'il avait commises en se basant non sur les textes originaux d'Aristote, mais sur ces commentateurs, comme Avicenne.
Albalag adresse d'ailleurs ce même reproche à Maïmonidelorsque celui-ci ne suit pas Aristote, notamment sur l'éternité du monde. En composant son travail, Albalag travaille à un but principal : démonter l'idée populaire que la philosophie tend à saper les bases de la religion. Au contraire, elles s'accordent selon lui dans les principes fondamentaux de toute religion positive, à savoir :. La philosophie s'adressant à l'individu, alors que la religion s'adresse aux masses, ce qui explique leurs différences dans l'établissement des vérités : la philosophie démontre, alors que la religion enseigne.
Cependant, dissertation philosophie peut on ne pas etre soi meme, Albalag, inspiré par Averroèsne prétend pas que les doctrines philosophiques doivent entièrement coïncider avec les doctrines religieuses : la vérité philosophique nue est délétère pour les masses, obligeant les Écritures Saintes à adapter leur langage.
Peut-on vraiment être soi-même ?
, time: 12:24Philosophie juive — Wikipédia
La philosophie juive au Moyen Âge. On peut diviser la philosophie juive médiévale en deux périodes: une période islamique, du VIII e au XII e siècle EC, où les philosophes juifs sont fortement influencés par la philosophie islamique environnante, laquelle est fortement tributaire de la philosophie grecque, traduite du syriaque par Al-Farabi Georg Wilhelm Friedrich Hegel [ˈ ɡ e ː ɔ ɐ̯ k ˈ v ɪ l h ɛ l m ˈ f ʁ i ː d ʁ ɪ ç ˈ h e ː ɡ l̩] [1], né le 27 août à Stuttgart et mort le 14 novembre à Berlin, est un philosophe allemand.. Son œuvre, postérieure à celle de Emmanuel Kant, appartient à l'idéalisme allemand et a eu une influence décisive sur l'ensemble de la philosophie contemporaine On appelle souvent le 18ème siècle le “siècle de la Raison” ou le “Siècle des Lumières“.C'est parce que le monde occidental a été infléchi par ce groupe informe des Lumières, à la fois philosophie, mouvement culturel et politique, lequel a cherché à instituer la raison dans tous les domaines de l'esprit
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